Placebo, ce que j’en ai pensé

La première partie est faite par Emilie Simon à qui l’on doit la BO de la marche de l’empereur. Je ne connaissait pas la demoiselle en question, si ce n’est qu’on la décrit comme une Björk française. Je dois dire que je n’accroche pas trop sur les sons expérimento-électro-oniriques.

Et puis honnêtement, pourquoi mettre le son si fort? On en est arrivé au point que des bouchons auditifs sont en vente à l’entrée de la salle! Tant que je suis dans des considérations bassement matérielles, je voulais aussi râler contre ces c0~n4d$ de fumeurs qui s’occtroient le droit de griller leur clope dans Bercy. La salle n’est pas exceptionnellement ventilée, et il devait bien y avoir près de 20 000 personnes. J’ai vraiment été gêné.

Bref, pendant ce temps on attend Placebo, en croisant un peu les doigts: Brian (le chanteur) avait une angine 3 jours auparavant et avait annulé les concerts. Là il est un peu tard pour annuler, mais bon, on ne sait jamais…;

Finalement la scène monte et le concert débute: les titres sont variés, y compris Special K, mais surtout issus du dernier album. Et je me lasse rapidement de Placebo. J’adore écouter un titre ; mais sur tout un concert, c’est tout le temps la même chose non (oui, on l’a compris, j’aimais bien, mais je ne suis pas fan non plus…;)